Je n'arrive même plus à faire semblant d'aller bien, alors je fuis. Je fuis ces gens qui m'usent, qui me rapiècent, m'écrasent, je fuis ce quotidien qui m’oppresse, cette monotonie insupportable, et je me replie dans mon cocon, dans un hiver éternel, en attendant sans espoir que la joie revienne.
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